Grande résistance religieuse des habitant-es de Saint-Nazaire. De nombreux curés et religieuses cachaient leurs vêtements sous un manteau, au risque de se faire arrêter, à une époque où ma religion devait être “réformée”.

Relaté par Michelet.

Le chevalier Gueriff, sentant la tension monter, cache ses effets (draps, vaisselles) dans des tonneaux qu'il fait transporter dans une cachette. La sentant peu sûre, il les fait déplacer à un autre endroit.

Mais ces mouvements ne passent pas inaperçus, et les habitants soupçonnent les tonneaux de contenir de la poudre. Une vérification est faite qui innocente Gueriff, mais l'information n'est pas communiquée, et des soldats sont dépêchés. Alors qu'ils veulent traverser en barque pour rejoindre (la propriété ?), les habitant-es se réunissent autour d'eux, contre eux (pour protéger le chevalier ?). La troupe, désorganisée, se fait attaquée et plusieurs soldats sont tués, d'autres blessés, enterrés vivants.

S'ensuivent des représailles, et de nombreux morts.

à Savenay, des vendéens sont massacrés par Kléber (qui ne voulait pas y aller ce soir-là), Marceau. 6000 corps sont à terre. C'est Saint-Nazaire qui nourrit les soldats restants

De la rue de la source vers la plage. N°376 du plan cadastral p.49

Pompe à roue rue de la Vera Cruz (mais a été déplacée un peu) Il est sur l'étang des sables

caserne des douanes, transférée ensuite au 31, rue de Méan. À la place : collège provisoire

rue de Cran

un incendie détruit la maison. Un bar y est construit (après ou avant) ? à ce carrefour était un gué

tentative de le planter, mais racines pourries, obligé de le replanter l'année suivante. place de la liberté entre l'auditoire et l'église paroissiale, près du petit cimetière

Utilisé notamment en 1793 pour des garnisons qui luttaient contre les royalistes (dont le chevalier Gueriff) qui venaient de Brière.

création d'une école primaire publique à l'ancien presbytère

• basilique primitive (sur la chapelle de Notre Dame de l'espérance). Détruite par les invasions arabes au VIIIe siècle. Reconstruite et détruite pendant la guerre de 100 ans. En ruine en 1373.
• Quelques images dans “Vieilles chroniques bretonnes” p.111, p.51 : église au bord de l'eau.
• sur la façade de l'église, une croix avec 2 fleurs de lys (menacées d'effacement), une autre fleur de lys à l'aiguille du cadran

épidémie de peste en 1794. Saint-Nazaire est bureau de santé publique famine en 1795

La foire au sabot se déroule le 15 septembre de chaque année depuis au moins 1614

Pendant la révolution, un homme a ouvert le réceptacle contenant la Vraie Croix et a gardé les reliques chez lui. Le réceptacle a été trouvé (vendu ? perdu ?), mais la relique a été restituée après les conflits.

Des pièces d'or du noble Caradeuc qui s'est fait exécuté a été caché, enterré dans un jardin. (description p.87)

1915 : grands incendies en Brière. Les paysans faisaient des trous dans la tourbe et y laisser un petit feu en permanence pour allumer leur pipe.

• Port-Nazaire, utilisé pendant la révolution
• Port-Marat, suggestion non retenue
• Brutus, ou Havre-Brutus, proposé dans une délibération, mais non retenu. D'après “Vieille chronique bretonne”, démontre une certaine culture (donc un ancien nom ?)